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News Categories: Djibouti News

TradeMark Africa à l’examen global de l’aide au commerce de l’Organisation mondiale du commerce

TradeMark Africa (TMA) participera et contribuera aux discussions lors de l'examen global de l'aide au commerce de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), qui se tiendra à Genève du 26 au 28 juin 2024 sous le thème "Intégrer le commerce". Rejoignez-nous pour présenter et mener des discussions sur les progrès réalisés dans la réduction des coûts et des délais du commerce grâce aux interventions des TIC sur le corridor nord de l'Afrique de l'Est ; les progrès de l'Afrique de l'Est dans la construction d'un corridor commercial numérique, qui a élevé l'intégration économique régionale et l'efficacité du commerce ; et explorer comment les systèmes de marché et le commerce intra régional peuvent combler le fossé de la pénurie alimentaire en Afrique. Pour en savoir plus sur le 9e examen global de l'aide au commerce de l'OMC, cliquez ici: https://www.wto.org/english/tratop_e/devel_e/a4t_e/global_review24_e/global_review24_e.htm Consultez et ajoutez nos sessions à vos favoris, ici https://www.trademarkafrica.com/tma-at-wto/

Les experts se félicitent des progrès réalisés dans le cadre du projet d’autoroute Abidjan-Lagos

La Commission de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), en collaboration avec la Banque africaine de développement (BAD), a récemment organisé à Accra, au Ghana, un atelier de consultation et de validation des parties prenantes pour l'étude de l'Initiative de développement spatial (IDS) du rapport intérimaire pour le corridor Abidjan-Lagos. Les experts ont délibéré sur les résultats de l'étude SDI, y compris une feuille de route complète pour le développement du corridor Abidjan-Lagos, en tenant compte des facteurs économiques, sociaux, environnementaux et logistiques, ce qui leur permettra d'obtenir le financement et le soutien des organisations internationales, des gouvernements et des investisseurs privés. Sediko DOUKA, Commissaire de la CEDEAO pour l'infrastructure, l'énergie et la numérisation, représenté par M. Chris APPIAH, Directeur par intérim des transports de la CEDEAO, à l'ouverture de l'atelier, a souligné que le projet d'autoroute du corridor Abidjan-Lagos était mis en œuvre non seulement comme un projet routier, mais aussi comme un "corridor de développement économique" intégré qui catalysera également le déploiement d'autres secteurs importants tels que le commerce, l'industrie, l'agriculture, l'énergie, l'environnement, les TIC et le tourisme. Le projet de développement du corridor routier Abidjan-Lagos, mis en œuvre par la CEDEAO, est une autoroute supranationale de 1 028 km qui constitue une partie importante du réseau routier transafricain. Le corridor autoroutier reliera les principaux ports et zones urbaines d'Afrique de l'Ouest, à savoir Lagos, Abidjan, Accra, Cotonou et Lomé. Il contribuera ainsi à stimuler le commerce et l'intégration en Afrique de l'Ouest, en...

New Ethiopia, Uganda business could hand Lamu port a lifeline

The interest by Ethiopia and Uganda in importing goods through Lamu could be the lifeline that the largely moribund port needs even as it continues to register growth in business. Last week Ethiopia received the first shipment of 60,000 tonnes of fertiliser imported through the Port of Lamu from Morocco. And this week Uganda signalled an interest in using the Lamu port in a move that would see it expand trade with Somalia. Kenya’s Roads and Transport Cabinet Secretary Kipchumba Murkomen toured the port on Wednesday and said it is strategically positioned to be the port of call for goods destined for northern Kenya, Ethiopia, and South Sudan. “That’s why we will do all in our power to facilitate the shipment of goods, including the 60,000-tonne fertiliser cargo destined for Ethiopia, in spite of a damaged section of the Lamu-Witu-Garsen road due to floods.” This is the first time Ethiopia is importing cargo through Lamu Port since its operationalisation three years ago. In 2022, the port handled 6,539 metric tonnes of cargo, a figure that jumped to 37,576 metric tonnes in 2023. Container traffic has also seen a rise, with twenty-foot equivalent units increasing from 382 in 2022 to 1,779 in 2023. Ethiopian cargo is handled through Mombasa, which is expensive. Despite its higher operational costs compared to Djibouti, Mombasa in the past two years benefited from Ethiopian freight cargo volumes increasing from 6,915 metric tonnes in 2022 to 14,383 metric tonnes last year due to its relative stability and...

Adopt financial inclusion magic

A few weeks ago, while in India to undertake due diligence on a fintech firm we are interested in doing business with, I observed how things work to better understand what drives the economy. In an election year, it wasn’t difficult to discern the government’s key message: Over $400 billion spent in the past decade on direct cash benefits to 900 million people in low-income households. India has one of the largest cash transfer programmes with an annual handout of 6,000 rupees to over 110 million farmers. It does this through a social infrastructure, the ‘JAM Trinity’ linking bank accounts (Jan Dhan Yojana), biometric national identity cards (Aadhar cards) and mobile numbers. Benefits include pensions, subsidies and loans delivered via transfers to bank accounts linked to biometric national ID cards held by over a billion Indians—akin to linking Huduma cards with M-Pesa numbers for transparency. Financial Inclusion 101. Banking systems The greatest achievement of this trinity is the ability for fintechs to collaborate and integrate their technologies with core banking systems to enable financial access. Interoperability of these systems is regulated to enable eKYC, digital credit underwriting and customer data protection compliance. Watching the local origination teams going about their business is a sight to behold. Turnaround time reduction is real and a task that would take days takes minutes. It takes a couple of minutes for a credit decision to be made and a maximum of four days for the money to hit the bank account. Trust is a...

Experts laud progress on impending Abidjan-Lagos highway project

The Economic Community of West African States (ECOWAS) Commission, in collaboration with the African Development Bank (AfDB), has organized a Stakeholder Consultation and Validation Workshop for the Spatial Development Initiative (SDI) study of the Interim Report for the Abidjan-Lagos Corridor from May 14 to 16, 2024, in Accra, Ghana. The three-day workshop brought together experts from the ECOWAS Department of Infrastructure, the ECOWAS Project Preparation and Development Unit (PPDU), the Canadian Pacific Consulting Services (CPCS), representatives of the Ministries of Infrastructure of the Corridor countries and project focal points, some representatives of other State Departments and Agencies who are considered stakeholders of the Project, the African Development Bank, the European Union, UEMOA, the ECOWAS Bank for Investment and Development (EBID), Abidjan-Lagos Corridor Organization (ALCO), the World Bank, JICA, AFEXIMBANK, Trade Mark Africa (TMA), the African Continental Free Trade Area (AfCFTA) Secretariat, and the West African Development Bank (BOAD). The experts deliberated on the results of the SDI study, including a comprehensive roadmap for the development of the Abidjan-Lagos corridor, considering economic, social, environmental, and logistical factors, that will enable them to obtain funding and support from international organizations, governments, and private investors. The SDI study aims to (i) identify and unlock the region's inherent and latent economic potential and ensure the commercial viability of the project as well as the economic and industrial value chains, (ii) provide tools and methodology for an economic survey, (iii) propose a mechanism for building consensus among all key project stakeholders, (iv) shed light on...

Les agences commerciales kenyanes améliorent l’efficacité des échanges à l’exportation et à l’importation

Les agences commerciales kényanes, avec le soutien de TradeMark Africa (TMA) et le financement de partenaires internationaux tels que le Foreign and Commonwealth Development Office (FCDO) du Royaume-Uni au Kenya, progressent dans l'amélioration des processus d'importation et d'exportation. Ces améliorations rendent le commerce plus rapide et plus rentable, ce qui profite aux commerçants du pays et de la région. Une mission récente a permis d'évaluer l'impact du partenariat établi. Lors d'une récente visite au Kenya Bureau of Standards (KEBS) et à l'Inland Container Depot (ICDN) de Nairobi, des fonctionnaires de TMA et de FCDO, ainsi que des représentants du KEBS et de la Kenya Ports Authority, ont évalué l'impact des projets menés dans les laboratoires du KEBS et à l'Inland Container Depot (ICDN) de Nairobi, qui sont conçus pour garantir la qualité des produits et la gestion des cargaisons. La mission a pris note des principales réalisations des cinq dernières années, telles que la numérisation des systèmes commerciaux. La mise en œuvre du système intégré de gestion des douanes (iCMS), ainsi que des initiatives telles que le territoire douanier unique de la Communauté de l'Afrique de l'Est (CAE) et le système électronique régional de suivi des marchandises (RECTS) ont permis de réduire de plus de 30 % les délais d'attente des marchandises à l'ICDN. Ces améliorations ont permis de décongestionner le port de Mombasa et de faciliter la circulation des marchandises dans le corridor nord du Kenya. En collaboration avec TMA, financée par le FCDO, la KEBS a mis en...

Un regard plus détaillé sur les efforts conjoints de l’EAC et de TMA en faveur de l’intégration économique régionale

Lors d'une réunion stratégique visant à renforcer l'intégration régionale et la croissance économique, Mme Annette Ssemuwemba Mutaawe, secrétaire générale par intérim du secrétariat de la Communauté d'Afrique de l'Est (CAE), a rencontré les dirigeants de TradeMark Africa (TMA), emmenés par le PDG Dave Beer. La discussion a porté sur l'engagement des deux organisations à s'attaquer aux barrières commerciales régionales, à améliorer les infrastructures et à promouvoir des pratiques économiques durables dans toute l'Afrique de l'Est. Éliminer les barrières : La lutte contre les barrières non tarifaires (BNT) Les progrès réalisés dans l'élimination des barrières non tarifaires (BNT) ont constitué l'un des principaux sujets de discussion. Ces barrières ont longtemps imposé des coûts substantiels à la région en ralentissant le commerce et en augmentant les frais de transaction.  Un rapport de 2023 du comité de la réunion régionale de la CAE a mis en évidence l'impact économique des BNT et l'a estimé à environ 16,7 millions de dollars. En conséquence, la CAE a donné la priorité à l'élimination de ces barrières afin d'améliorer l'efficacité économique à travers les frontières. Lors de la réunion du comité régional de suivi des BNT qui s'est tenue au début du mois de mai 2024, quatre des dix BNT en suspens ont été résolues, ce qui ouvre la voie à un commerce plus fluide. Les mécanismes d'identification, de signalement et de résolution des BNT sont en cours d'amélioration pour inclure des outils de signalement par SMS, qui s'intégreront à l'application mobile régionale. Cette mise à niveau...

Grande victoire pour le Kenya : l’Éthiopie importe des engrais via le port de Lamu

Le gouvernement éthiopien a reçu la première cargaison de 60 000 tonnes d'engrais importés du Maroc par le port de Lamu. C'est la première fois que l'Éthiopie importe des marchandises par le port de Lamu depuis sa mise en service il y a trois ans. Au cours des derniers mois, une délégation éthiopienne a évalué la viabilité du corridor de transit Lamu Port-South Sudan-Ethiopia (Lapsset). Depuis de nombreuses années, l'Éthiopie utilise principalement les ports de Djibouti et de Mombasa. Samedi, un navire éthiopien, MV Abbay II, a commencé à décharger les 60 000 tonnes d'engrais en vrac. Le directeur général de la Kenya Ports Authority, William Ruto, a déclaré qu'il s'agissait de la plus importante cargaison d'engrais en vrac à avoir accosté au Kenya. "Cela témoigne de nombreuses années de planification, de dévouement et de travail acharné pour faire du port de Lamu une plaque tournante de la logistique dans la région", a-t-il déclaré. L'engrais a été ensaché dans le port, avant d'être chargé dans les camions en attente pour le transport vers l'Éthiopie. "Nous sommes reconnaissants et pensons qu'il s'agit du premier des nombreux navires transportant des marchandises à destination de l'Éthiopie que nous traiterons à l'avenir", a déclaré M. Ruto. Le ministre éthiopien de l'agriculture, Girma Amante, a déclaré que le corridor de transit Lamu Port-Soudan du Sud-Éthiopie est un projet de transformation essentiel pour l'ambition de l'Afrique d'établir une zone de libre-échange continentale, car il soutient la libre circulation des biens, des services et des personnes à...

Towards a Borderless Africa: How the AfCFTA Is Changing the Narrative on Continental Integration

Since its establishment at the African Union meeting in Kigali in March 2018, much ink has been spilt and much media attention has been heaped upon the African Continental Free Trade Area (AfCFTA). Yet a lot of misconceptions persist. Borderless Africa was written essentially to clarify those misconceptions and to reemphasise the political economic case for the AfCFTA. We advance the argument that if it wants to achieve its long-term developmental goals, Africa no longer has any viable strategic alternative but to accelerate continental integration under the aegis of the AfCFTA. Despite its name, the AfCFTA actually goes well beyond the creation of a free trade area – it is about forming a continental market. Yet the wording ‘free trade’ understandably provokes adverse reactions in certain quarters, as it is often associated with economic liberalisation programmes of the 1980s and 1990s – ‘Structural Adjustment Programmes’ – that caused a lot of economic pain in Africa with very little gain. However, the critics are guilty of making a false equivalence – if it were true that the AfCFTA were a neoliberal project, then all attempts at regional integration would be open to the same accusation. An idea whose time has come In fact, the AfCFTA is firmly grounded in longstanding pan-African ideas of how to achieve greater unity among African countries. This goes beyond the usual names associated with pan-Africanism (Nkrumah, Nyerere, Senghor, etc.): Borderless Africa builds heavily on insights of two intellectuals that were deeply committed to pan-African ideals – Adebajo Adedeji and Thandika Mkandawire. In fact, Adedeji was one of the principal...

EAC Trade With Africa Sees Significant Rise, While Trade With the West Declines

Trade within the East African Community has recorded a significant increase at the expense of trade with markets outside the continent. The EAC has also increased its trade with African countries outside of its sub-region. This is a result of the region’s deliberate efforts to boost intra-Africa trade. As reported by the East African, the seven countries that make up the East African Community, according to the most recent data from the EAC Secretariat grew their trade with the rest of Africa by $584.6 million to $4.3 billion in the fourth quarter of 2023, a 14% increase over the same time in 2022. Also trade amongst the community grew by 12% from $2.6 billion to $2.9 billion in the fourth quarter of the previous year, a sign of increasing commerce throughout the area throughout the year. In contrast, the EAC’s trade with the European Union, which would typically account for 10% of all its trades fell by 14% from $2.04 billion in the three months to December 2022, to $1.7 billion in the last quarter of 2023. Belgium saw the most steep decline in its trade with the EAC, dropping by 45% from $263 million in Q4 of 2023 to $188 million in Q4 of the same year. The USA recorded a 19% drop from $200 million in 2022’s October–December to $161 million in the previous year. Germany, Italy, and Switzerland’s trade with the EAC fell by 12%, 2%, and 23%, respectively. The EAC’s trade with its Asian partners also...