Country: Africa

Digital Innovation and Regional Collaboration Essential Drivers to Transforming Africa’s Trade Future

The recent commemoration of the 25th Anniversary of the East African Community (EAC) offered an excellent opportunity to reflect on its achievements, confront persistent challenges, and outline the path forward for advancing regional integration. A notable focus of the celebration was the role of digital innovation in addressing cross-border payment inefficiencies, with technologies such as artificial intelligence, mobile money, and digital currencies emerging as critical enablers. Coinciding with this milestone, the Africa Trade Development Forum (ATDF) was held in Kigali, Rwanda, from 2 to 3 December 2024. Co- organised by the Government of Rwanda and TradeMark Africa (TMA), the forum brought global trade leaders, policy makers, private sector representatives, researchers, and innovators to reimagine the transformative potential of digital solutions in redefining trade. Both events emphasised the need for actionable strategies to strengthen intra-regional trade through enhanced collaboration. Regional cooperation emerged as a key driver of economic growth, with the EAC commended for its leadership in promoting intra-African trade. Since 2010, TMA has worked to reduce trade barriers and modernise trade systems within the EAC. Its collaboration with the EAC has delivered 15 One-Stop Border Posts (OSBPs), reducing transit times by 16.5% along the Northern Corridor from Mombasa to Bujumbura and cutting crossing times by up to 70% at key border points. These improvements have significantly enhanced regional connectivity and efficiency. Digital transformation has been central to TMA’s approach, with initiatives such as the Single Customs Territory introducing electronic cargo tracking system, digital certificates of origin, and customs modernisation. The...

Rwanda’s horticultural enterprises take a leap towards standards compliance for global market access

Rwanda Inspectorate, Competition, and Consumer Protection Authority (RICA), in partnership with TradeMark Africa and the International Trade Centre (ITC), has concluded a four-day training for horticultural producers under the Value-added Initiative to Boost Employment (VIBE). This marks a significant step toward enhancing the capacity of Rwandan horticultural producers to access global markets. The training, held from November 18–21, 2024, brought together 30 small and medium- sized horticultural enterprises from across the fruit and vegetable value chains, including producers, farmer cooperatives, exporters, and the Rwanda Horticulture Exporters Association.   The training focused on Good Agricultural Practices (GAPs), with particular emphasis on pesticide use and compliance with Maximum Residue Levels (MRLs). Participants gained practical insights into pesticide application, pest management, record-keeping, and the implications of non-compliance with specified standards. Such violations can significantly impact international market access and pose public health risks. To reinforce and sustain best practices, the enterprises will receive an additional month of post-training coaching to ensure alignment with global standards in pest and disease control. These engagements align with VIBE’s overarching goals of enhancing access to lucrative export markets for Rwanda’s horticultural products, reducing rejection rates, increasing sales, and creating decent and fulfilling jobs. The five-year program, implemented in Rwanda by TradeMark Africa and the International Trade Center (ITC) in partnership with Mastercard Foundation, is designed to facilitate the creation of dignified job opportunities, particularly for women, youth, refugees, and persons with disabilities in micro, small, and medium-sized enterprises (MSMEs) within the horticulture, poultry, meat, and dairy value...

Le traitement à l’eau chaude pourrait changer la donne pour les exportations de mangues du Kenya

L'industrie kenyane de la mangue a subi d'importants revers en raison de l'invasion de la mouche des fruits (Bactrocera dorsalis), qui a conduit à de nombreuses interceptions de cargaisons de mangues par l'Union européenne (UE). Pour relever ce défi et préserver les possibilités d'exportation du pays, des traitements post-récolte innovants tels que l'utilisation de la technique de traitement à l'eau chaude (HWT) sont à l'étude. Avec le soutien du programme de renforcement de l'environnement des entreprises et des exportations (EU-BEEEP) financé par l'UE, une délégation de TradeMark Africa (TMA) a récemment visité la Direction des cultures horticoles (HCD) à l'aéroport international Jomo Kenyatta (JKIA) de Nairobi pour évaluer la faisabilité de l'installation d'un équipement de traitement à l'eau chaude. Plus tard, l'équipe a eu l'occasion d'observer un prototype de l'équipement au Centre international de physiologie et d'écologie des insectes (icipe), une institution de recherche scientifique réputée pour ses technologies et pratiques innovantes en matière de lutte contre les ravageurs. Le traitement des eaux usées est une méthode éprouvée pour éliminer les parasites de quarantaine tels que les mouches des fruits, tout en préservant la qualité et la durée de conservation des mangues. En investissant dans les technologies de traitement des eaux usées, les exportateurs kenyans seront mieux préparés à répondre aux normes phytosanitaires strictes exigées par les principaux marchés tels que l'Union européenne, les États-Unis et le Japon. Cet investissement permettra non seulement aux exportateurs d'éviter des rejets coûteux aux frontières, mais aussi d'améliorer leur compétitivité sur le marché mondial....

La réunion inaugurale du Comité national de Surveillance ouvre la voie aux activités de facilitation du commerce en Côte d’Ivoire

Le programme national de TradeMark Africa (TMA) en Côte d'Ivoire a tenu sa réunion inaugurale du Comité national de Surveillance (CNS) le 20 septembre 2024, suite à la récente signature d'un protocole d'accord avec le ministère du Commerce. Le CNS fait partie de la structure de gouvernance de TMA et est présidé par un haut fonctionnaire d'un ministère. Il est chargé de fournir des conseils stratégiques sur la programmation qui répond aux objectifs nationaux, d'examiner les propositions de projets et les plans d'affaires liés aux programmes qu'il supervise et peut recommander au conseil d'administration de les approuver. Le comité examine également les progrès de la mise en œuvre et résout les problèmes. Ses membres comprennent des représentants des ministères et départements gouvernementaux concernés, des organes faîtiers du secteur privé, des organisations de la société civile et des partenaires du développement. Au cours de la réunion, les participants ont noté que le lancement de la programmation de TMA en Côte d'Ivoire était opportun et essentiel pour faire progresser la facilitation du commerce dans le pays et dans toute l'Afrique de l'Ouest. La séance d'ouverture de la série de rencontres de la journée, y compris la réunion du CNS, a été présidée par Patrick Olivier Daipo, chef de cabinet adjoint, qui représentait le ministre ivoirien du commerce et de l'industrie, Souleymane Diarrassouba. La réunion du CNS était présidée par Kalilou Sylla, directeur général du commerce extérieur au ministère. "Ce Comité National de Surveillance jouera un rôle essentiel dans le suivi et la...